Commencé d’écrire Le roi de Suisse, une farce. La température continue d’augmenter. Mardi, il fera quarante degrés. Les coqs chantent la nuit, l’oie s’agite derrière la haie. Ces animaux, qui sont juste là, sont invisibles. Impossible de se pencher, la haie est trop haute. Impossible de plonger la tête, la végétation est dense. Quant à la porte du domaine, elle est de fer, sans trouées. Gala annonce qu’elle ira sonner. Lorsque j’ai marché sur les berges de la rivière, j’ai dérangé un troupeau de chèvres. Lui aussi appartient au propriétaire du domaine. Après le premier orage, je commencerai la traduction de mon essai à l’espagnol.