Monfrère donnait la bastonnade au Christ.
-Enfin, disais-je, il a un problème de couple, c’est une affaire privée, laisse-le vivre!
Alors, pour protéger le Christ, je l’embrassais. Je le trouvais caricatural et sanglant, poisseux et poussiéreux, et couronné d’épines comme dans les peintures de Grünewald.