Usage aussi intéressant que péremptoire des quatre causes aristotéliciennes par Bernard Stiegler qui établit dans le cours d’un entretien que la bio-technologie ne peut plus être considérée comme de la science (à la différence de la biologie contemporaine) en ce qu’elle néglige la cause finale (la destination de l’effort de connaissance) pour rabattre toute la recherche sur la cause efficiente privilégiant ainsi une rationalité a‑critique qui vaut comme alpha et oméga de la validité épistémologique.