Révision

2007, Cather­ine Safonoff avec qui je cor­re­spondais alors jour après jour par let­tre postée, m’écrivait: « quand tu seras fatigué, tu feras de grandes choses. » Mon sen­ti­ment aujour­d’hui avec la venue de la fatigue est que je ne ferais rien de plus, et peut-être plus rien, sinon me deman­der com­ment finir. Avec, sans ou con­tre la société.