Plusieurs années, j’ai cherché à comprendre quels intérêts servait l’importation massive dans nos sociétés d’énergumènes du tiers-monde marqués au sceau de la religiosité, arriérés et aculturés (ne possédant aucune culture, ni la leur ni la nôtre). Les données du problème apparaissaient contradictoires et irréconciliables. Détruire la démocratie, certes. User de l’islam comme outil indirect d’oppression, soit. Augmenter le nombre de fonctionnaires à proportion du nombre d’énergumènes assistés afin de renforcer l’Etat, bien. Mais en fin de compte, je ne voyais là – pour le pouvoir – que des calculs à court terme, et le pouvoir, c’est bien connu, n’a qu’une visée : la pérennité. A Florence, j’ai observé l’une de ces compagnies de la nouvelle économie qui fleurissent dans nos villes. En l’occurrence, un système de livraison de repas à domicile, à vélo, postes occupés par des immigrés loqueteux qui dorment dans la rue et survivent grâce à l’aide sociale (on ferait les mêmes observations en se penchant sur ces entreprises commerciales entre toutes néfastes que son Uber, Airbnb ou Glovo). Car il suffit pour se figurer pleinement l’usage des énergumènes dans notre système postlibéral d’abandonner toute référence politique. Nous ne vivons pas dans des sociétés qui organisent entre les citoyens des rapports politiques, nous vivons dans une entreprise fonctionnant à l’échelle mondiale qui organise entre ses employés un système de redistribution de l’argent du bas vers le haut.