Expérience genevoise

Dans le bâti­ment de la nou­velle uni­ver­sité, rue Carl-Vogt, au milieu des ces jeunes mag­nifiques, femmes aux longs cheveux, gars solides, qui tous font plaisir à voir et j’imag­ine, ne deman­dent qu’à s’aimer et à s’en­trelac­er, à boire et rire, et jouir. Et que voit-on au sol? De gros auto­col­lants ronds qui inci­tent à se méfi­er les uns des autres. Mes­sages idiots, délétères: “il m’a mis la main aux fess­es”, “tu n’es pas obligé de sup­port­er tous les regards”, “depuis que j’en par­le, ça va mieux”