Péniblement corrigé sept pages en trois jours. J’y pense, j’y pense encore, pars pour l’entraînement, oublie. Au milieu de la nuit, je me réveille, j’allume, je me mets à travailler. A l’aube, je me recouche. A dix heures, je continue les corrections, avale des pâtes, y retourne. Pendant deux jours. Soudain, c’est fini. Jésus branche la clef qui contient le manuscrit, imprime, j’emballe, achète une enveloppe chez Sing, donne à la poste, rentre et dors. Dix heures, encore dix, puis onze.