Quand meurt une star, elle meurt. Les circonstances sont rapportées plus tard, une fois l’affaire éventée. Est-ce pour des raisons commerciales, pour que les capitaux investis sur le nom continuent de rapporter? Ou simplement pour cacher à la jeunesse les coulisses du parcours auquel sont contraints ces professionnels (O’Riordan, Ullrich, Avicii) transformés par les multinationales en objet spéculatif, souffrance qu’ils endurent en versant dans l’excès chimique et auquel, à l’occasion, ils succombent?