Ces jours, me saisit à nouveau une forte émotion en pensant au courage d’un Vladimir Boukovski. Des textes complets de sa confession de prisonnier publiée à l’époque sous le titre “Une nouvelle maladie mentale en U.R.S.S., l’opposition” me reviennent en mémoire. Voilà l’homme qu’il faut inviter dans les écoles.