Un set de Dj Solomun (dans ce cas deux heures aux platines devant le théâtre romain d’Orange) présente la même structure qu’une expérience d’éthologie sur des souris: une alternance d’attentes conditionnées et de satisfactions frustrées. Là où le rock donne et s’épuise, la techno appâte et prolonge. Dans le registre des musiques digitales, tout jugement esthétique mis à part, la Trance me semble mentalement moins corrompue.