Modèle abouti de marketing politique, la mise à l’eau en juin de l’Aquarius avec à son bord quelques centaines d’analphabètes africains que les ONGs sous la commande des grands marchands poussent vers l’Italie en sachant que le gouvernement interdira le débarquement. Répétition du destin tragique de l’Exodus et ses 4500 rescapés des camps hitlériens à qui la Palestine de 1947, alors sous commandement anglais, refuse le débarquement. Mais l’instrumentation de la sympathie de nos peuples pour ces égarés africains visait un autre but: attirer les regards sur la nouvelle voie maritime ouverte à l’invasion, les côtes andalouses, ceci quelques jours après la prise de pouvoir à Madrid du parti socialiste, dont les troupes sont favorable à l’imposition d’un ordre administratif transnational. De fait, depuis le débarquement en grande pompe dans le port de Barcelone des énergumènes de l’Aquarius, les arrivées d’envahisseurs dans la péninsule sont quotidiennes, détrônant l’Italie comme premier pays d’entrée. Tant que nous n’aurons pas admis que chaque individu arrivant d’Afrique pour s’installer en Europe contribue à la dévalorisation de notre modèle social pour se mettre innocemment au service du totalitarisme, nous serons complice de cette escroquerie qu’ordonne l’élite technocratique — puis ce sera la guerre.