Château

Ni grèves de la faim ni grèves du tra­vail ni grèves spé­ciales, une grève de l’ex­is­tence; cha­cun, en tout hon­neur, et splen­dide, traîne durant une ou deux semaines, reste chez lui, mange ses fonds d’ar­moire, laisse sa voiture sur place, éteint son télé­phone. Bon début. Assez de ce château de cartes!