Luv

Olof­so m’ap­pelle. Troisième jour des exa­m­ens, Luv est en pleurs, sen­ti­ment d’avoir mal fait, mal répon­du, craig­nant d’é­chouer.
-Tant que ce n’est pas fini, ce n’est pas fini.
Réponse sibylline qui agace Olof­so, et que j’ex­plique ain­si:
-Quand au tren­tième kilo­mètres du marathon je suis fatigué, je me dis que je ne suis pas fatigué, je n’ar­rête pas de courir.