Fukuyama avait raison- ce qui confirmerait, c’est mon avis, qu’il était commandité par les think-tanks néo-libéraux- nous touchons à la fin de la dialectique, c’est à dire à l’inopérabilité de l’argumentation dans un système techno-instrumental qui projette toute position de discours sur un écran blanc où aussitôt il s’efface au profit de la narration générale