Après trois jours de combat, derniers entraînements sur l’aire de stationnement de la Foire de Malaga où nous garons huit voitures, les uns attaquant les autres à coups de poings puis à l’arme blanche et au pistolet. Positions répétées: quand je vais à ma voiture, quand j’ouvre la portière et, plus difficile, lorsque les mains sur le volant, alors que la voiture roule, le passager me glisse un couteau sous la gorge. Entre euphorie et épuisement, nous encaissons les coups en riant, aussi contents qu’une bande d’enfants.