On ne s’oriente dans l’espace qu’au moyen de valeurs. Les valeurs dépendent d’un principe. Or, si la liberté découle de l’action, aucun principe qui en impose n’est recevable. Telle est l’aporie à laquelle est confronté l’homme épris de liberté. Son tort est de croire que la liberté est un principe quand elle n’est que la somme possible des orientations dans l’espace.