Le grand livre, pensé-je, impossible à faire ou presque pour la raison que je dirai, est celui qui montrera le rétrécissement de la vie biologique et morale de l’homme occidental, et c’est que (voici la raison) il faudrait pour illustrer l’histoire de ce déficit avoir appartenu à deux voire trois générations dévidant ainsi une pelote d’expériences qui rendraient le fait incontestable.