Si les éditeurs refusent les manuscrits parce que je pense ce que je pense, c’est qu’ils les acceptaient parce que je pensais ce que je pensais (ce sont eux qui évoluent dans la censure plutôt que moi dans l’opinion) et dans ce cas mieux vaut aller se promener et boire, dormir, manger et faire l’amour sans jamais confier un seul mot à ces gens qui font métier de les rendre public.