Paella sur la place de la Constitution, voilà qui s’annonce bien après vingt et un kilomètres de course au soleil, seulement il s’agit d’un concours, les familles apportent leur poêle géante, leur gazinière et les ingrédients, discutent et touillent. Quand je retourne sur la place, changé et douché, pas une n’a encore mis le riz à bouillir: à l’évidence aucun plat ne sera servir avant trois ou quatre heures de l’après-midi. Je me couche, dors deux heures et mange deux steaks.