A Unterföhring, dans les faubourgs de Munich, chez nos amis serbes. Ils partent pour Memming puis les Alpes, nous restons seuls dans l’appartement. L’ensemble du mobilier ne vaut pas cinquante euros. Hormis deux icônes sous lesquelles pendent des bougies votives, les murs sont nus. Je cherche les traces de clous, imaginant qu’ils ont décroché pour que nous soyons à l’aise. Non, ils vivent dans le blanc. La consommation d’images via les téléphones et tablettes rend peut-être pénible la vision d’images fixes accrochées aux murs?