Gentillesse d’Hector le Sioniste. Le sourire amical, il me tape sur l’épaule: “Tu vas bien ?” Traversant ensuite la salle son téléphone à la main, il me montre les images d’un attentat: “Terrible, n’est-ce pas?” Répétant un exercice peu après, il manque me tordre les cervicales. Je me demande si je vais pouvoir écrire demain.