Gala sur la voie du retour. Tous les jours, depuis seize ans, ce roman qui m’agace, m’angoisse, me défait. Je l’ai quittée à Genève le 29 février, je l’ai vue une heure dans un bar à la veille de mon retour en Espagne. D’un bar dans Figueras, elle écrit ce soir: “je viens de conduire 600 km, il en reste deux fois plus, il pleut, l’hôtel n’a pas la wi-fi”.