Les robots ont pris le pouvoir. L’Etat réagit. Terrorisés, nous attendons dans des abris de fortune autour du grand mât que contrôle le pouvoir nouveau. Les secours arrivent par le ciel. “Comment, dis-je scandalisé, ils ne déploient qu’un groupe de fantassins parachutistes!” Je cours à travers le camp: “même pour retirer un billet de Fr. 100.- ils faut traiter avec des machines et face au robots envahisseurs, l’Etat dépêche des hommes!” Alors, comme si le ciel me répondait, l’entourage se transforme. Dans le camp, autour du mât, il n’y a plus que mes anciennes femmes. Accompagnées de leurs hommes actuels, elles me narguent. Je m’approche de la première. Elle ressemble à B. mais ce n’est pas B. Elle est un peu différente, de sorte que je ne peux rien dire. Même chose pour N. Pour L. Et Gala. Il ne me reste qu’à porter ma souffrance et me plier au régime des robots.