Point de rupture

Le monde n’a pas changé. La société est triste, absurde, alié­nante. Pour cause: les indi­vidus qui la com­posent répon­dent, pour ce qui est de l’ac­tion et de la pen­sée, à des impérat­ifs qui ne vien­nent nulle­ment d’eux. Je suis donc dés­espéré et rem­pli d’espoir.