Duras

“…à vivre comme ça, comme je vous dis que je vivais, dans cette soli­tude, à la longue il y a des risques qu’on encourt. […] Dès que l’être humain est seul il bas­cule dans la dérai­son. Je le crois: je crois que la per­son­ne livrée à elle seule est déjà atteinte de folie parce que rien de l’ar­rête dans le sur­gisse­ment d’un délire per­son­nel”. Écrire, (1993), Mar­guerite Duras.