Nowhere

Gala veut retourn­er dans le désert, dormir le jour, danser la nuit, échang­er de la nour­ri­t­ure et des drogues, se mou­voir dans une com­mu­nauté pro­vi­soire par quar­ante degrés, sous tente et dans le sable; bien, mais le fait que l’on soit, deux ou trois cent, autorisés à vivre ain­si, quelques jours, hypothèque mon plaisir. Sor­tir de la cage, respir­er pour remet­tre un peu de con­ver­sa­tion dans ce monde, for­mi­da­ble, mais pourquoi ne pas la dessouder?