Chaises 2

Sans nou­velles de Pablo, le pro­prié­taire. Je me demande s’il a passé un après-midi à rec­oller les chais­es. Après avoir ten­té de me join­dre six fois (je n’ai pas répon­du), il m’écrit qu’il fera de son mieux, mais — dit-il — “je ne crois pas avoir les clefs de l’ap­parte­ment”. Tant de rou­blardise, explique que le pays soit sym­pa­thique. Et manque de per­spec­tives économiques.