Sans nouvelles de Pablo, le propriétaire. Je me demande s’il a passé un après-midi à recoller les chaises. Après avoir tenté de me joindre six fois (je n’ai pas répondu), il m’écrit qu’il fera de son mieux, mais — dit-il — “je ne crois pas avoir les clefs de l’appartement”. Tant de roublardise, explique que le pays soit sympathique. Et manque de perspectives économiques.