Souvent, j’ai le sentiment que tout va finir. C’est pourquoi je fais en sorte que cela finisse: pour que cela recommence. D’un autre côté, je cesse de faire, je m’imagine ne faisant pas, je coordonne un déficit d’activités et le contemple et tente de ne plus bouger car si la mort est un état dans lequel il ne se passe rien, être devant elle dans un état où il ne se passe rien, c’est être prêt.