Je me vois assis devant un feu, une couverture sur les jambes, la maison est entourée de forêt ou d’un lac, ou encore de montagnes, je suis peut-être seul, je ne lis pas, je bois un café, un alcool, un thé, une horloge tourne, j’ai de la sympathie pour un arbre, les bruits ont un langage, j’attends. Je me vois assis dans un fauteuil, devant un feu et j’ignore si cette image est réconfortante, si elle est une bonne introduction à la mort.