Esbrouffe

Le palais de cristal de Peter Slo­ter­dijk. Sur le haut de la pile tout ce print­emps, en attente. C’est peu dire que je me réjouis­sais. Je le fourre dans mon sac et l’ap­porte en Andalousie. Ce matin, sur la plage, je com­mence ma lec­ture. Cet après-midi, je la pour­su­is. Ce soir, je me pose des ques­tions: com­ment peut-on écrire un tel tis­su d’âneries?