De ce que je compte faire les prochains six mois, j’ai tout fixé, y compris le désordre: c’est dire si le besoin est grand d’être rassuré et forte l’envie de me soustraire jour après jour, heure après heure, à la dictée du réel. Avec cela, il y a deux inconnues qui feraient obstacle au flux régulier du temps: Gala d’abord, dont la capacité d’amour et d’égoïsme vaut résistance, d’autre part les projets d’écriture que sont Stabulations et Noria, l’un tout didactique, mais pesant son poids sur une conscience déjà alourdie, l’autre, à l’opposé, exigeant une inspiration primesautière. Sur la ligne d’horizon, autour de décembre, l’espoir de retrouver, pour l’esprit et le corps, la liberté nécessaire.