Garçons et filles

Garçons et filles, grand tort de les élever pour la société, non pour eux-mêmes. On ne cherche pas à dévelop­per des indi­vid­u­al­ités fortes; on préfère des êtres dociles et qui ont des besoins par lesquels on les tient []. Mon­ther­lant, car­nets 1932.