A Pai, site encerclé de montagnes avec ses baraques de bois et de tôle et mille touristes dont quelques-uns, cheveux longs et pieds nus, égarés dans notre époque. Je traverse le pont et m’éloigne. Mon hotel est à trois kilomètres (réservation sur internet) entre des buffles et des rizières sèches, j’y suis seul. Plus tard, au village, je trouve Guy, propriétaire des bateaux qui propose la descente de rivière. Mais je suis le seul à vouloir me rendre à Mae Hong Son par voie d’eau. Pour l’instant, donc, pas de départ prévu.