Au courrier, lettre du préfet concernant le retrait sans permission d’Aplo de l’école valant ordonnance pénale. Elle commence par ces mots: “Tout d’abord, j’observe que cette ordonnance pénale est définitive et exécutoire dans la mesure où vous n’y avez pas formé opposition…” Il est vrai: je me suis contenté de dire que jamais plus je ne répondrai aux demandes ni à l’écrit ni à l’oral. En d’autres termes, il n’y a qu’une façon de dire “non”, c’est de former opposition, c’est-à-dire d’entrer en procédure. Dire “non” revient à dire “je joue avec vos règles”. Ce qui me confirme que mon approche est la bonne: seule l’omerta peut désorganiser le dispositif en place. La suite du courrier le prouve: “je transmets directement, dit le préfet au Service d’application des sanctions pénales et des prisons (SASPP)…”.