Ecriture de Vie2. Démarrage pénible, lorsque je prend place devant les carnets et y cherche une amorce. Vingt minutes, une demi-heure pour trouver la parade. Entre-temps, un va et vient: lignes écrites, lignes effacées, lignes réécrites, modifiées et à nouveau effacées… Retour à la feuille blanche. Quand l’amorce est trouvée, je prends un rythme. Alors le récit se déroule. Trois, quatre heures d’affilées coupées de balades dans l’appartement durant lesquelles je cherche une issue au texte. Puis je reprends place devant les carnets et travaille à la suite. Désormais, bon espoir de clore ce travail avant le départ en Asie. Enfin, bonne nouvelle: n’est pas ce que je voulais écrire.