La course. Au septième kilomètre, alors que je me demande si mon rythme n’est pas trop élevé, si je ne risque pas de caler, j’aperçois Jena-François Haas sur le bord de la route, en famille, muni de ses attributs grisonnants, barbe et moustache à la Bakounine, épaules rondes et taille ramassée. Son nouveau roman est en vitrine depuis la veille. Je l’appelle par son prénom. Il fait de grands signes, comme si nous parlions littérature.