Toute personne raisonnable et intellectuellement honnête admettra que l’immigration entretenue est le facteur principal de déliquescence de nos sociétés. Dans le même temps, l’absence de renouvellement de la population sur une base nationale est le facteur de déliquescence que cherchent à combattre les politiques de remplacement du peuple. Mais ce dilemme n’est implacable que dans une lecture capitaliste et internationaliste. Si de valeur l’argent redevenait moyen, rien n’interdirait de concevoir une société viable et heureuse dont le modèle économique se contenterait d’une population vieillissante. En dernière analyse apparaissent donc une fois de plus les programmes sacrificiels de la bourgeoisie cosmopolite dont la perversion consiste à faire prévaloir en tout et partout la valeur argent. Et s’il faut pour cela une redistribution contre-historique des terres impliquant des massacres à grande échelle, qu’à cela ne tienne!