Course dans le désert des Bardenas. Nous prenons le départ à portée du Polygono, nom que porte la base militaire installée au milieu du désert. Deux heures trente, vingt-cinq kilomètres, trente-quatre degrés. La fin est pénible: je n’ai emporté qu’un demi-litre d’eau. Comme une averse est tombée en début de semaine, une flaque d’eau s’est formée sur la terre craquelée. Une grenouille se baigne là.