Journal écrit la nuit

Cepen­dant, à Pog­gio­re­ale, racon­te Gus­tav Her­ling dans ce Jour­nal écrit la nuit qu’il tint à Naples, dans cette atmo­sphère de pique-nique de print­emps, il peut arriv­er qu’on aperçoive quelqu’un sor­tant des os d’un tombeau entrou­vert, pour les asti­quer et les baiser.