Ce metteur en scène qui s’intéressait à moi pour que je m’intéresse à lui — ce que je ne compris pas aussitôt, étranger que je suis à ce travail de recrutement. J’assistais à la première de sa pièce sans arrière-pensée bien qu’avec ennui le théâtre étant souvent cela, de l’ennui et, particulièrement pour une protestant atavique de mon espèce, une forme mondaine d’obscénité. A la fin du spectacle, je ne dis pas un mot au metteur en scène choisissant de rester honnête plutôt que de le vexer. Jamais plus il ne me parla.