La production de laideur, justifiée par les nécessités de tout ordre, au premier rang économiques et sociales. Engloutissement du naturel. Perversion des comportements. Hommes-machines. Agressivité. Et à la moindre contestation, les tenants des nécessités s’insurgent: il n’y a pas moyen de faire autrement! Certains sont d’ailleurs de bonne foi, preuve qu’ils ont déjà du côté du diabolique. Rien de religieux dans ce que j’avance: la cupidité érigée en loi ou l’ambition portée à une certaine incandescence suffisent à vous transformer en un thuriféraire du laid. D’ailleurs, s’agissant de religion et donc d’amour, “il s’est sacrifié pour racheter le monde”, “il sauvera celui qui se donnera à lui”, je veux bien, je n’en ai pas l’expérience, mais si le croyant rétablit la lumière pour lui et pour son entourage, il est impuissant lorsqu’il s’agit d’empêcher la destruction de la beauté. La beauté: leçon simple, immédiate, qui rabat l’homme sur un centre.