- Il y a vingt-huit ans, me confirme l’épicière, que je suis à ce coin de rue, nous ne vendons plus rien. Heureusement que les clients connaissent mes légumes, les patates tenez, je les fais dans mon jardin, elles n’ont pas ce goût comme dans les supermarchés. Nous sommes allés manger dans l’arrière-boutique de la librairie russe, il y a un restaurant caché là, eh bien ma fille a eu un menu de riz et de poisson pour 2,50 Euros.
Et sans transition:
- Moi, pour ce qui est de mon mari, vous savez, il est tellement jaloux, je le garde que pour ma fille.