Trois séances de combat après entraînements entre le lundi et le mercredi. le lendemain, au terme d’une sommeil difficile, je monte sur le vélo pour un travail de reconnaissance du réseau. Je me traîne. De poste en poste, je roule avec une peine augmentée, les côtes et les jambes endoloris par les coups. Et soudain, il me semble que la ville est immense, que les distances sont démultipliées, que je suis perdu dans l’espace.