De ces Courriers de Berlin que vient de publier en français Matthias Zschokke, je retiens qu’ ”il n’y a rien à dire”, qu’ ”au fond, personne n ‘a rien à dire”. S’il s’agit de littérature, je veux bien. Hélas, il ajoute : “Je crois que seule une minorité a quelque chose à dire”.