Variations sur un thème. Au bout de combien de variations le thème est-il complet? Le devient-il jamais? Mais alors pourquoi l’œuvre meurt-elle? Pourquoi les variations s’effaceraient-elles au profit du thème si ce n’est parce qu’elles on permis d’y aboutir et qu’il s’exprime franchement. Etan me faisait remarquer que le cœur des hommes bat chez chaque individu un nombre identique de coups. C’est ce qu’on dit. Et quand l’homme a trouvé son thème, il disparaît.