Juliet-Adorno

Charles Juli­et lit Theodor Adorno. Adorno effraie Juli­et. Juli­et, c’est l’ex­pan­sion du soi. Adorno, c’est la cri­tique des con­traintes imposées à cette expan­sion. Tous deux ont souf­fert, mais les sys­tèmes qui orches­traient la néga­tion de leur être appli­quaient une par­ti­tion dif­férente: Juli­et avait la société devant soi, à lui de la rejoin­dre; Adorno avait la société dans le dos, à lui de la réinventer.