Violence

Effroi des femmes (celles qui ont con­servé leur féminité, dont le nom­bre se réduit) devant la représen­ta­tion de la vio­lence. Savoir secret, enfoui, sur la per­son­nal­ité, elle-même enfouie, du mâle. Il est de fait que la représen­ta­tion de l’af­fron­te­ment corps à corps, non pas con­tin­gent, par exem­ple dans une bagarre de rue, mais néces­saire, dans un con­texte guer­ri­er, représente égale­ment pour nous, les hommes, une pos­si­bil­ité entre toutes néga­tive. Appa­raît alors le jeu sous con­trainte de l’ex­is­tence con­tre la mort qui implique la sus­pen­sion immé­di­ate de la lib­erté. Hélas, l’élé­ment vir­il, dis­ons bête, nous représente en par­al­lèle l’idée de l’emporter et c’est cela qui effraie la femme: ce piège.