Tantôt, comme je me promenais dans les bois, je croise Hannah. Elle est seule, nous parlons, puis chacun poursuit dans sa direction. De retour dans l’appartement du Criblet, je m’aperçois que le charme est rompu. L’an dernier, persistait une aura liée à notre brève relation, non parce qu’elle avait été brève, mais parce que n’ayant pas été assez consommée, chacun ressentait, malgré lui, cette tension heureuse que produit la représentation d’un désir disponible. Il vient de disparaître.