Petromax

Enfin réus­si à allumer la lanterne, une Petro­max de quar­ante cen­timètres qui rap­pelle le falot des marins. Reste à savoir com­ment les mouss­es s’y pren­nent sous les paque­ts d’eau. Il s’ag­it d’abord de pom­per pour met­tre le pét­role sous pres­sion, d’al­lumer un jet qui brûle le man­chon, de laiss­er celui-ci se con­sumer, de ral­lumer le jet et au bout de nonante sec­on­des, d’in­vers­er l’a­menée de com­bustible pour que le car­bu­ra­teur porte le man­chon à incan­des­cence. Une telle manœu­vre au creux de la tem­pête, je ne vois pas.