Acablar

Aca­blar, que j’écris ces jours à Domeren, deux mil mètres, sous tente et sous la pluie. Même tech­nique de com­po­si­tion qu’ Ogro­rog mais sans le fil con­duc­teur, trop évi­dent, du voy­age — plutôt, du déplace­ment. Ain­si, j’au­rais sou­vent à pass­er par le chas de l’aigu­ille pour que tien­nent ensem­ble des notes dis­parates. Dans l’im­mé­di­at, elles s’at­tachent à la nature et à l’his­toire des idées, mais il va en venir d’autres et alors il fau­dra beau­coup de fil.